mercredi 25 mars 2009

Emoi sans fin

Votre coeur est béant, que l'amour passe vite.
Ma Mie hier encore vous étiez si séduite,
Qu'imaginer et n'ose percevoir en lambeaux,
Vos yeux que j'aime en liesse et qui céans sont maux.

De cette plaie dolente d'où s'écoulent vos larmes,
Qu'y voir autre qu'espoir pour vous d'aimer encore,
Sans aucun autre choix que de fourbir vos armes,
Afin de conquérir et contrarier le sort...

Renaissez donc Gentil senso, l'amour vous sied tant,
Et songez que les heures qu'en larmes vous passez,
Vous seront débitées au rythme du bon temps,
Sans distinction ni droit de ce qui est floué.

Aimez donc prou sans fin, l'amour nourrit la vie.
La mort a le coeur sec et le corps corrompu.
Comme ces Êtres amers de n'avoir assouvi,
Les émois de ces sens dont on jouit dévestu...

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Surprise....


Et moi sans fin.....

Les émois sans faim....

C'était il y a longtemps !

au temps du bon temps !

Yo

Méphistophélès Nobili Germani a dit…

Le bon temps est celui qu'on se donne chère Yo...

:o)

Méphisto

Anonyme a dit…

Malgré une certaine nostalgie...

Je ne m'en prive pas... Vive la vie, je lui souris.

Je fuis aussi les fâcheux et ne m'attarde que là où je trouve plaisir et sérénité (par la musique)

Bonne soirée. Yo

Anonyme a dit…

Il ne faut se priver de rien ma Chère Yo, la vie est courte...

La musique, entre autres...

Bien à Vous

Méphisto

Anonyme a dit…

Il ne faut se priver de rien ma Chère Yo, la vie est courte...

La musique, entre autres...

Bien à Vous

Méphisto