vendredi 27 mars 2009

Humain pauvre hère

Humain Ô toi qui à l'esprit prétend
Humain Ô toi qui au jugement se voue
Que n'aurais-tu penser d'avant que de parler,
Pour ainsi esquiver tes propres turpitudes.

Mais plus navrant encore est de lire ta genèse,
Passionnante épopée, affligeante destinée,
Ainsi te voir assis, tel phénix sur la branche,
Et scier sans relâche le support de ton cul.

Hors que noulant savoir les sagesses passées,
Afin que le présent puisse avenir servir,
Ne voyant pour le moins que le bout de son groin,
Et son sceptre servir au lieu de mérengeoires.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Oui, "Humain pauvre hère", qui oublie trop souvent les sagesses d'antan et ne sait pas tirer les leçons du passé. Quelle jolie plume que la vôtre, sans compter la profondeur de vos textes. J'ai pris beaucoup de plaisir à vous lire. Merci de partager vos écrits et de nous offrir matière à réflexion.

Méphistophélès Nobili Germani a dit…

Merci de vostre passage et appréciation Chère Yo ,

Bien à Vous

Méphi