mercredi 8 avril 2009

Les larmes du poète

Sur le papier tombent les larmes du poète,
Elles s’écoulent en sanglots, torrent venu du cœur,
S’étalent à l’encre bleue sur mouchoir sans en-tête,
Pour exprimer ses peines et autres mauvais heurs…

Il pleure dans son cœur comme il pleut sur Paris,
Tel un cœur qui s’ennuie, Ô le chant de la pluie…
Que sont ses amis devenus,
Qui si près furent tenus ?

Verlaine, Baudelaire, Rimbaud, tant de grands immortels…
Il pleure le poète, si tant, si tant, si tant…

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Le poète ne pleure plus,
le printemps est revenu
et il ne pleut plus...yo