jeudi 6 mai 2010

Ma femme d'amour

Ce visage qui me hante, celui-là qui m'émeut
Ces lèvres qui m'enchantent, celles-ci que je veux
Sans omettre ces yeux qui les miens ont croisé
Ce jour béni des dieux où je t'ai rencontrée...

Nous fumes tout deux surpris d'entendre la chamade
Qu'en notre for battant telle une douce aubade
Nos cœurs à l’unisson composant symphonie
Mélopée de tendresse à l'émoi sans répit

Et depuis une année où tu fus mon abscisse
Je suis ton ordonnée tendre volubilis
Craignant à tout instant de ne savoir t'aimer
Comme tant d'autres amants qui se croyaient zélés...

Hors malgré les obstacles que nos vies ont scellé
Et dieu sait si de fait, nous ne sommes épargnés
L'amour plus fort que tout point ne s'avoue vaincu
En ce monde folie ou "aimer" se voudrait, n'estre qu'un superflu...

Je ne sais où nous mène ce merveilleux tournis
Si ce n'est qu'avec toi je crois à l'utopie
Car pour un homme élu l'impossible se peut
Sachant que rien n'arreste ceux-là même qui sont deux...

Pas de promesses, pas de serments, juste je t'aime
Des espérances et des baisers, des caresses, des étreintes
Une épaule solide pour que tu t'y blottisses et reposes,
Et qu'ainsi en nos cœurs, soit gravée notre histoire...

Au présent...

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